Un crime non documenté est un crime oublié.

Souvent, les crimes les plus atroces sombrent dans l’oubli – non par indifférence, mais parce que les preuves sont inaccessibles, détruites ou perdues.

La Documentation Centrale des Crimes Internationaux (DCCI) produit des renseignements judiciairement exploitables par les magistrats, les enquêteurs et les avocats qui travaillent pour accomplir la justice pénale internationale.

Documentation Centrales des Crimes Internationaux

Crimes Recensés
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Pays Traités
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Chaque renseignement est une opportunité pour la justice.

Ce qui nous distingue

  • Nous recherchons, structurons et centralisons les données relatives aux violations du droit international afin de transformer des données fragmentées et éparses en renseignement cohérent et exploitable.

 

  • Notre action repose sur la recherche et l’exploitation du renseignement d’origine sources ouvertes (ROSO), de sources humaines (ROHUM) et de partenaires à l’international (ONG, journalistes, autorités publiques, etc).

 

  • Nous privilégions une expertise discrète mais fiable, utile pour les poursuites contre les auteurs allégués de crimes de guerre, contre l’humanité et de génocide. L’exploitation des données obéit à une rigueur méthodologique scientifique afin de présenter des renseignements fiables, sourcés et recoupés avec des sources indépendantes les unes de autres. 
La DCCI est neutre et ne saurait être influencée par une quelconque orientation partisane, ethnique ou religieuse. Elle ne soutient pas un camp plutôt qu’un autre et ne vise que l’application du droit international public.

Toutes les sources sont citées, à l’exception des cas où il existe un risque de représailles à l’encontre des témoins ou des victimes. Dans ce cas, la sécurité des sources humaines est la priorité et les éléments permettant de les identifier ne sont ni publiés, ni transmis à une juridiction sans leur consentement.