Fondée en 2024, la DCCI réunit des professionnels et des universitaires aux profils variés : droit et relations internationales, diplomatie, enquêtes judiciaires, asile, informatique, etc. Chaque membre est employé dans son domaine de compétence afin de rechercher, centraliser et analyser les renseignements relatifs aux crimes de guerre, contre l’humanité et de génocide commis à travers le monde.
La Documentation s’inscrit dans une logique de coopération et de complémentarité avec les acteurs étatiques, internationaux et privés qui œuvrent de bonne foi pour la répression des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité et des génocides. En associant l’exploitation de renseignements d’origine sources ouvertes (ROSO), avec des réseaux de partenaires et de sources humaines, la DCCI produit des données judiciairement exploitables pour les enquêteurs, magistrats et avocats qui travaillent dans ce contentieux.
Compte tenu des enjeux, l’identité de nos membres et de nos sources restent en principe confidentielles.
Objectif : Développer un outil cartographique interactif qui géolocalise les crimes internationaux (crimes de guerre, crimes contre l’humanité, et crime de génocide) et présente le contexte dans lesquels ils sont commis. Les éléments constitutifs sont présentés d’une manière facilement exploitable pour un usage judiciaire : synthétique mais exhaustif, neutre et factuel. Ces informations sont destinées aux professionnels de la justice (magistrats, enquêteurs judiciaires, avocats), aux journalistes et aux organisations de défense des droits humains.
Composantes clés :
Objectif : Coopérer avec les professionnels de la justice pénale internationale, pour améliorer la circulation de l’information utile aux poursuites pénales.
Composantes clés :
Objectif : Renforcer la capacité des journalistes à documenter efficacement les violations du droit international, en prenant en compte les paramètres utiles d’un point de vue judiciaire.
Composantes clés :
Objectif : Fournir aux victimes de la guerre et des persécutions réfugiées en France la possibilité de s’exprimer dans un cadre sécurisant. Ceci inclut un suivi avec des conseils juridiques, et la collecte d’information pour alimenter les bases de données de la DCCI. Ceci valorise la voix des victimes et permet d’utiliser leur témoignage pour renforcer le renseignement pour organiser la répression pénale des auteurs.
Composantes clés :
Objectif : Donner de la visibilité aux victimes et aux exactions par le biais de l’expression artistique, afin de promouvoir la justice pénale internationale et d’encourager les dépôts de témoignages auprès de la DCCI.
Composantes clés :
Pour l’instant, la DCCI est entièrement financée par ses propres membres et ne perçoit aucune subvention.
Par la suite, des campagnes de dons et des demandes de subventions seront lancées. Les livres de comptes seront publiés sur cette page.
Nos livres de comptes, les informations concernant nos campagnes de dons, les subventions reçues et autres questions relatives à nos financements seront publiées sur cette page.